DOCUMENTS

Merci à tous ceux qui nous transmettrons d'autres photos, documents ou témoignages.     

 
Cartes

Les branches de la famille Mernier qui sont reprises sur ce site s'enracinnent dans les Ardennes belges, d'abord dans le village de Rossart (Orgeo), ensuite à Gribomont (Saint-Médard), puis à Martilly (Straimont) et Laiche (Chassepierre). 


(Cliquez sur la carte pour élargir la zone)  


 
Villages, maisons et cimetières


"la gazèt de saint môr è gribôman"
"Deux siècles d'histoire de la famille à Gribomont"
  

Documents des Archives de l'Etat

Extraits des "Oeuvres de lois" de la mairie d'Orgeo
   
Les "œuvres de loi" officialisaient les transactions de biens, établissent des testaments ou des contrats de mariage


Extraits des Registres de la Paroisse d'Orgeo 

Dans cette paroisse, les registres ont été tenus à partir de 1660. Ces registres reprennent les trois grandes étapes de la vie du paroissien : le baptême, le mariage et le décès. Ils représentent la principale source de la recherche généalogique avant 1796


 
Extraits des Registres de la Commune de Saint-Médard 

L'état civil devient laïc à partir de la Révolution, les registres n'étant plus tenus par le clergé, mais par  les officiers d'état civil dans les mairies depuis 1792 en France.
En Belgique, l'état civil fut créé le 17 juin 1796 après l'annexion des Pays-Bas autrichiens par la France.
 

  
Bibliographie

"Le cheval de Mernier"

Cet article concernant Jean-Louis Mernier de Gribomont (1798-1846) a été publié le 15 mars 1961 dans le Bulletin "LA RONDE", bimestriel du Centre culturel et sportif du personnel des Douanes et Accises du Brabant.

Le 17 mars 1844, Jean-Louis qui faisait le commerce de chevaux avait conduit six chevaux à la foire de Carignan; il les avait déclarés lors de la sortie de Belgique à la douane de Florenville.
Lors de son retour, il conduisait un cheval par la bride qui portait une valise contenant de l'argent.
Arguant que le cheval n'avait qu'une "mauvaise selle sans sangle", les douaniers prétendirent qu'il y avait intention de fraude. Pour Jean-Louis, le cheval était sellé, ce qui impliquait la franchise à l'entrée comme à la sortie.
Les douaniers saisirent le cheval dont ils estimèrent la valeur à 600 frs et le confièrent aux soins d'un fermier de Florenville.
S'en suivit plus de quatre ans de démêlés administratifs et judiciaires durant lesquels Jean-Louis est resté intransigeant sur ce qu'il estimait être son bon droit. Finalement la Cour d'Appel lui donna entièrement raison et le cheval lui fit remis le 14 janvier 1846 (malheureusement Jean-Louis décéda 15 jours plus tard, le 29 janvier).
Mais l'affaire n'était pas terminée, elle dura encore plus de deux ans, le fermier qui avait gardé le cheval a réclamé son dû à l'administration. Le 19 juillet 1848, le Tribunal d'Arlon a constaté que la saisie avait été illégale et a lui alloué 1.200 frs.

Lire l'intégral de cette incroyable histoire ...
 




Parcours d'un ardoisier mineur

Un livre témoignage de Louis SOQUAY, époux de Marie-Thérèse MERNIER, 
sur le travail des scailtons dans l'ardoisière de la Morépire; beaucoup d'informations aussi sur l'histoire et la vie à Orgeo, des photos, des anecdotes, des poèmes, ....
     

 


"Quand le printemps s'éveille à l'opéra"

Interview de Benoît MERNIER, organiste et compositeur, dans La Libre Essentielle de février 2007 

 



Photos et souvenirs

Nous présentons dans cette partie des photos, faire-parts, souvenirs  mortuaires et autres  documents.

 Liste des documents

 


 Pages d'histoire

1914-1918 Récit des combats des 22 et 23 août 1914 à Saint-Médard et Gribomont.

Extraits:

p. 100

p. 101



1940-1945: La famille dans la résistance


  in DOM Madeleine, Histoire de la résistance, La Dryade, tome3, chap. XXV,  pp. 203-213:


  Monuments



 Le maquis du Banel 1942-1944

Pages d'histoire de la résistance franco-belge relatant des évênements auxquels la famille MERNIER de Laiche fut intimement liée.

Le massacre du 18 juin 1944

Evocation de l'histoire du maquis du Banel par Odon MERNIER au cours de la cérémonie du 17 juin 1945 commémorative du premier anniversaire des atrocités commises par les nazis au Banel.
Texte du discours